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lundi 8 janvier 2007

The Goo Goo Dolls


Peu connus en France, immenses stars dans leur pays, les Goo Goo Dolls méritent votre attention.

Ce groupe, originaire de Buffalo (état de New-York, Etats-Unis d’Amérique), dont le nom provient d’une histoire parue dans le magazine True Detective, est formé en 1985 par le chanteur et guitariste John Rzeznik, le bassiste Robby Takac et le batteur George Tutuska, remplacé par Mike Malinin en 1995. Cela fait donc plus de vingt ans que The Goo Goo Dolls existent !

C’est en 1991, grâce à la Bande Originale du Film « La fin de Freddy : l’ultime cauchemar » (« Freddy’s dead : the final nightmare ») sur laquelle figurent trois de leurs compositions, que je les ai entendus pour la première fois. Après les avoir quelque peu perdus de vue, c’est en 1998 que je les redécouvre grâce à Francis Zégut (et oui, encore Zézé !) qui passe alors largement des extraits de leur album de l’époque, et notamment le titre « Iris », également présent sur la B.O.F. « La cité des anges » (« City of Angels »), qui est rapidement devenu un tube international. Malheureusement, hormis cette chanson, les autres superbes compositions du groupe restent très peu diffusées en France.

Plutôt brute de décoffrage à leur début –du hard-rock mâtiné de punk–, la musique des Goo Goo Dolls évolue ensuite vers un style purement rock, de plus en plus fréquemment teinté de pop, de plus en plus subtile et mélodieux, avec d’inévitables, mais irrésistibles ballades.

A ce jour, le groupe a sorti un live, une compilation et huit albums studios, le dernier en avril 2006, « Let love in », dont la photographie de la pochette illustre cet article.

Si vous ne les connaissez pas et que vous avez envie à votre tour de les découvrir, précipitez-vous sans hésiter sur « Dizzy up the girl », leur sixième opus paru en 1998, l’incontournable de leur carrière.

Pour avoir un bel aperçu du style très énergique de leurs premiers albums, sans tous devoir les acheter, et de l’évolution qui suivit, leur compilation « What I learned about ego, opinion, art & commerce » est parfaite pour cela. Précision : il s’agit d’une rétrospective chronologique de leurs six premiers albums, ce n’est pas un best-of ; d’ailleurs, aucun de leurs grands succès radio n’y figurent.

Enfin, sachez qu’un fabuleux DVD du groupe en concert, « Live in Buffalo : July 4th 2004 », existe également (aussi disponible en CD), histoire de voir ce qu’ils donnent sur scène et de faire plaisir à votre téléviseur ainsi qu’à votre système home cinéma. A noter que le groupe reprend durant ce concert la chanson « Give a little bit » de Supertramp, reprise qui figure aussi sur leur dernier album en date.

Un conseil : la disponibilité en France des albums des Goo Goo Dolls n’est que très rarement immédiate. Soyez donc patients avec votre disquaire… Ou commandez-les directement sur un site U.S. !

Plus d’infos sur le site officiel du groupe :
http://www.googoodolls.com/
(vous y retrouverez notamment quasiment tous leurs clips dans la rubrique « music »)

1 commentaires :

Anonyme a dit…

ça m'a l'air bien intéressant... J'adoorrreee la jacket... elle a de ces yeux !!! mIsTeRtChUsS

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